Le bouillon de poule

Celui de nos grands-mères, bien sûr ! Je ne parle pas du bouillon en cube…

Scientifiquement non expliqué, l’intérêt du bouillon à l’ancienne est pourtant bien réel. Sa richesse en gélatine est son principal atout. La gélatine est un véritable soin pour toutes les maladies dégénératives et inflammatoires. Les praticiens ont observés que la gélatine du bouillon maison améliore la digestion des céréales, des laitages et des viandes. De plus, elle a une action bénéfique sur les rhumatismes, les colites, l’hyperacidité, et toutes les inflammations en général. En effet, elle soulage, nourrit et protège la paroi intestinale. Vraiment, intéressant pour tous les intestins poreux !

Riche en collagène

Le collagène… tu connais ? Probablement en as-tu entendu parler grâce aux publicités. Tu sais, la crème riche en collagène qui permet de combler les rides, blablabla… et ben oui ! Étant donné que c’est la protéine de la gélatine, y en a plein dans le bouillon à l’ancienne. « Ce qu’il fait à l’intérieur se voit à l’extérieur ! » . Bon j’arrête les références de pub !
Et pourtant c’est vrai, pourquoi ne pas le manger ? Il fera du bien à ta peau mais pas que !

Riche en silice

N’oublie pas le cartilage ! Et oui, tu ne le sais peut-être pas… pourtant, le cartilage est un des aliments les plus riches en silice organique. Heu… c’est quoi ? C’est tout simplement le meilleur traitement connu pour lutter contre l’arthrose, l’ostéoporose, les tendinites… !
D’accord, seulement c’est pas facile à manger tu en conviendras. Ça tombe bien, la recette du bouillon telle que je te la donne permet d’extraire tous les bienfaits du cartilage !

Riche en glycine

La glycine, comme le collagène se trouve dans la gélatine. Elle a une action sur l’insuline permettant une diminution de la glycémie dans un cadre de diabète. De plus, elle est anti-inflammatoire.

La glycine est reconnue comme un neurotransmetteur inhibiteur. Elle a donc une action anti-stress, facilite le sommeil, améliore la récupération, l’apprentissage et la mémoire.

Sans compter qu’elle fait preuve d’une large fourchette d’actions anti-tumeur !

ET, EN PLUS C’EST BON !

LA RECETTE !

  • 5 litres d’eau
  • 1 poule, ou une carcasse, ou 8 ailes de poulet
  • 1 verre de vin blanc sec de qualité, ou du vinaigre de cidre non pasteurisé ou 1 jus de citron (l’acide est important pour extraire les minéraux des os)
  • 2 carottes moyennes
  • 1 ou 2 verts de poireaux
  • 1 gousse d’ail
  • 1 bouquet garni
  • 1 oignon piqué de clous de girofles

Bien sûr, tous les ingrédients seront bio et de d’excellente qualité !

Mettre le poulet dans l’eau froide. C’est important pour que la carcasse donne le meilleur d’elle-même.

Porter à frémissement, écumer la mousse et baisser le feu. ATTENTION ! Le bouillon ne doit jamais bouillir ! Cela annulerait une partie des bienfaits.

Parfois, il y a moins de mousse, ou plus….

Ajouter le reste des ingrédients. Et laisser cuire au minimum 5 à 6 heures. Saler et poivrer en fin de cuisson.

A la fin de cuisson, tu filtres et tu jettes les restes de poulet et les légumes. Dans l’absolu, tu peux les manger… seulement ils sont insipides et n’ont plus de valeur nutritive. Juste ça rempli le ventre…

Si tu as utilisé un poulet entier. Ôte-le après une trentaine de minutes de cuisson. Prélève les chairs et remets les os et la peau dans le bouillon pour qu’il cuise encore plusieurs heures. Ceci afin de retirer tous les bénéfices de la carcasse. De plus, après plusieurs heures de cuisson, la viande n’aurait plus vraiment d’interêt… que ce soit d’un point de vue gustatif ou nutritionnel.

La banane

Tu te demandes peut être, pourquoi la banane mérite tout un article ? Et bien, la banane est un fruit particulier. En effet, consommée mûre, elle est une véritable bombe nutritionnelle. Par contre consommée verte, elle perd pratiquement tout son intérêt… Je t’explique.

Bananes mûres VS bananes vertes

La banane mûre

Une banane est mûre lorsque sa peau est jaune et parsemée de tâches brunes. A ce moment là, elle se compose uniquement de glucose et de fructose. Ce sont des sucres simples. http://www.nathalie.chareyre.com/les-glucides/ Elle est donc alcanisante pour l’organisme.
De ce fait, elle est une bombe énergétique. Ainsi, lors d’une hypoglycémie, une banane te redonnera plus d’énergie qu’un gâteau, et surtout elle ne provoquera pas de pic de glycémie car elle est riche en fibres solubles. Celles-ci contrairement aux fibres dures, n’irritent pas l’intestin. De plus, elles sont la nourriture (prébiotiques) de ton microbiote (probiotiques). Je te rappelle que le microbiote est ce que l’on appelait à tort la flore intestinale.

La banane verte

La banane verte, c’est de l’amidon… C’est à dire un sucre complexe ! Et oui, le même que l’on retrouve dans les pommes de terre, les châtaignes, les légumineuses et autres farineux… Elle est donc acidifiante pour l’organisme.
Et, tu l’auras compris, je l’espère, que CE sucre là n’est pas bon pour nous, puisqu’on ne sait pas le digérer complètement, qu’il est source de déchets, et qu’il acidifie l’organisme.

« Je n’aime que la banane verte »

Plus la banane est mûre, plus elle est riche en sucre, plus elle a de goût et plus elle rassasie.
Une banane verte n’a pas beaucoup de goût, et elle est ferme. Si c’est ainsi que tu aimes la croquer, alors mange là de manière différente. Tu veux des idées ? Ok.

Lorsque je me retrouve avec des bananes trop mûres, je les épluche, les coupe en tronçons de 3 ou 4 cm. Je les mets en sachet (environ 2 bananes par sachets) et je les congèle.
Ensuite, je peux, en les sortant 10 mn avant, en faire d’excellent smoothies. Je les mets dans un blender, avec (ou pas ) d’autres fruits, éventuellement de la vanille ou de la cannelle, de l’eau ou un lait végétal. Elles apportent le crémeux et le sucre. Trop bon !!

Parfois, je fais des glaces avec. Pareil que pour les smoothies sauf que je les passe à l’extrateur de jus (avec l’accessoire spécial glace) et sans ajout d’eau ou de lait végétal. Essaie, tu risques juste de devenir addict !!

Je m’en sers également, pour « sucrer » des gâteaux, ou des préparations pour dessert. Oui, oui !! Je te donnerai des recettes dans d’autres articles, laisse moi un peu de temps, j’y travaillle !

Les propriétés de la banane mûre

La banane mûre est très riche en micro-nutriments. En effet, elle est très riche en minéraux (potassium, magnésium, calcium, phosphore, manganèse et fer) et vitamines (du groupe B) et assure une bonne production de sérotonine.
C’est l’un des aliments les plus nourrissant au monde, et c’est le fruit le plus adapté à l’être humain pour sa croissance. En effet, la banane mûre renforce les os et les muscles de manière exceptionnelle, elle augmente la résistance et la musculature. Elle est donc, la meilleure alliée des sportifs et des body builder. http://www.nathalie.chareyre.com/les-proteines/

Au niveau de la santé, elle est parfaite pour tous ceux qui souffrent de MICI, de troubles intestinaux. Elle diminue les inflammations intestinales et digestives, elle combat la constipation. La banane mûre prévient efficacement les ulcères du colon (RCH, Crohn) les brûlures d’estomac, et les inflammations chroniques. C’est aussi un excellent médicament pour traiter les addictions au gluten et au sucre raffiné.

Une cure de bananes mûres, (c’est à dire une monodiète de quelques jours) permet de combattre la toxémie (déchets dans le sang). Cette cure est puissante, car elle permet un nettoyage global de l’organisme.

Lorsqu’elle est mangée le soir, la banane mûre améliore le sommeil et combat les insomnies. Sans oublier, qu’elle est aussi une bonne compagne face aux troubles dépressifs. Mange des bananes, t’auras la banane !

De plus, la banane mûre protége le système cardio-vasculaire.

Une banane mûre par jour, et les crampes s’évanouissent ! Ceci, grâce à sa richesse en potassium. De ce fait, un savon de Marseille (un vrai, hein !!!) dans ton lit, est aussi très efficace.

Et si la maladie n’éxistait pas ?

T’es-tu déjà posé cette question ? Il est des concepts tellement ancrés dans la mémoire collective, que l’on ne pense même pas à les remettre en question. C’est le cas de la maladie. En effet, il est commun de penser que la maladie est une fatalité, qu’elle nous tombe dessus par malchance, ou par hérédité et qu’elle a toujours existé. Vraiment ?

Une maladie, c’est quoi ?

Le Larousse me dit : « c’est une altération de la santé, des fonctions des êtres vivants. Elle se définit par une cause, des symptômes ».
Il s’agit donc d’un mot permettant de regrouper différents symptômes. Un symptôme, c’est quoi ? Pour la médecine en général (allopathie mais aussi aromathérapie, homéopathie….), c’est avant tout un problème. En effet, quelque chose dans le corps ne va pas bien, il faut le résoudre, faire taire ce symptôme. Le corps disfonctionne, l’homme doit le réparer ! http://www.nathalie.chareyre.com/toujours-plus-de-maladies-auto-immunes-ou-autres/

Quelle vanité ! Sommes-nous vraiment plus intelligents que la Vie ? Ne peut-on pas considérer le symptôme plutôt comme une solution, et non comme un problème ? Pourquoi le corps se mettrait tout à coup, comme ça, à produire du cholestérol, de l’hypertension, des calculs, des inflammations… ? Il y a forcément une cause et donc une raison. C’est pourquoi, je pense que le symptôme est une solution pour notre corps, afin de pouvoir s’adapter à une situation ou rétablir un équilibre. De plus, il est un signal d’alerte.
De ce fait, détruire un symptôme aggrave un problème ou plusieurs problèmes sous-jacents.

En images…

J’aime beaucoup la vision de la naturopathe Irène Grosjean. Imagine deux poubelles. L’une est toute propre, bien entretenue. L’autre a déjà plus que servie. Elle est sale, nauséabonde… Tu les mets côte à côte. Dans laquelle iront les mouches pour se nourrir et se reproduire ? Tu l’auras compris, les poubelles sont notre corps et les mouches les maladies.

Que fait la médecine ? Elle étudie les mouches, leur donne des noms scientifiques, et tente de les détruire. Les mouches ne sont-elles pas la conséquence d’un encrassement de la poubelle ? Cela veut dire que plutôt que de tuer les mouches, il vaudrait mieux s’occuper d’arrêter d’encrasser la poubelle et commencer à la nettoyer. De plus, tous les produits pour tuer les mouches encrassent d’autant plus la poubelle et aggrave la situation !

La maladie serait donc une invention de l’homme ? On ne peut pas imaginer que des fabriquants d’armes soient pour la paix. Comment peut-on penser que les fabriquants de médicaments soient pour la bonne santé ?

La solution

Renforcer notre terrain, aider notre corps à éliminer les déchets, nourrir correctement nos cellules en nutriments et en oxygène, se reposer…

Arrêter de nous empoisonner par nos pensées, notre alimentation, notre sédentarité….

C’est Coluche qui disait : « c’est pas parce qu’ils sont nombreux à dire la même chose, qu’ils ont raison »
En effet, bon nombre de maladies de civilisations (diabète, maladie auto-immune, hypertension,…) dites incurables, sont, en réalité tout à fait guérissables et sans médicament.
Pour preuve, Chéri n’a plus d’hypertension, je n’ai plus de RCH, et je suis en cours de guérison de la spondylarthrite ankylosante. Ces trois « maladies » sont reconnues comme étant incurables par la médecine.
http://www.nathalie.chareyre.com/mon-histoire-avec-la-rch/
http://www.nathalie.chareyre.com/mon-histoire-avec-la-spondylarthrite-ankylosante/

Mon histoire avec la spondylarthrite ankylosante

Premiers symptômes

Quelques mois après ma première rémission (de quelques semaines seulement) de RCH, j’ai commencé à avoir des douleurs articulaires. http://www.nathalie.chareyre.com/mon-histoire-avec-la-rch/
Puis après une semaine de ski, j’ai eu un épanchement de synovie au genou droit. Tout d’abord, j’ai cru à un traumatisme. Comme la radio ne montrait rien, j’ai eu droit à un arthro-scanner (avec injection de liquide de contraste). En effet, mon genou ne « guérissait » pas malgré plusieurs semaines de repos. Là, le chirurgien m’annonce qu’il faut opérer. L’examen a révélé une arthrose de stade 4, avec des petits bouts de cartilage qui se baladent dans l’articulation. Bizarre comme histoire. Il ne semble pas important de savoir pourquoi mon genou est dans cet état. Mais bon, il faut enlever les petits bouts de cartilage.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Après une petite accalmie, c’est au tour de mon autre genou de gonfler puis, l’ensemble de mes articulations de me faire souffrir…

3 ans de galère

Le gastro-entérologue me dit que la RCH peut s’accompagner de douleurs articulaires. C’est pas grave. Mon médecin traitant ne me prends pas au sérieux. En effet elle considère que je refuse de me soigner. Puisque j’ai refusé le traitement allopathique pour la RCH c’est que je ne me soigne pas !

Lentement je m’enfonce avec des hauts et des bas. Je ne peux pas prendre d’anti-inflammatoires pour me soulager. En effet, cela aggraverait la RCH. Je développe des tendinites aux coudes, chevilles…. Doucement mais sûrement, je perds de la mobilité et de la force, et gagne en souffrance. Je ne peux plus nager, m’accroupir, m’agenouiller, lever les bras…. j’ai beaucoup de mal à m’habiller seule, parfois, j’ai même besoin d’aide. Mes mains se raidissent, je ne peux plus porter une bouteille d’eau, ni l’ouvrir…

Je retourne voir mon médecin traitant et insiste pour avoir une lettre pour consulter un rhumatologue. Selon un protocole bien établi, on commence les examens. Prise de sang, radios, échographie….. en terminant par une IRM.

Enfin, 3 ans après les premiers symptômes le diagnostic tombe : spondylarthrite ankylosante.

C’est quoi ?

Encore une maladie auto-immune. Elle se caractérise par une inflammation de l’enthèse (là où les tendons s’insèrent dans l’articulation), une perte musculaire, une perte de mobilité, une destruction des cartilages, un épaississement du sang….et beaucoup de douleurs !

La spondylarthrite évolue par crises inflammatoires. Ces inflammations peuvent toucher toutes les articulations.
Tu savais, toi, qu’il y avait des articulations entre le sternum et les côtes ? Et bien, moi, je l’ai découvert le jour où respirer me faisait mal… Je ne te parle même pas de rire, ou de tousser !

Mon combat

Il s’agit bien d’un combat ! Contre les maladies d’abord, mais aussi contre les médecins et parfois contre certaines personnes de mon entourage. En effet, les douleurs ne se voient pas. De ce fait certains ne comprenaient pas mon calvaire, et « oubliaient » qu’une pression sur l’épaule ne m’était pas supportable. D’autres encore, ne comprenaient pas que « je me complique la vie » en ne mangeant pas comme tout le monde, par exemple, alors qu’il existe un traitement.

Ma rhumatologue m’annonce le protocole… C’est compliqué de traiter les deux maladies mais il y a un nouveau traitement : c’est une biothérapie. C’est le même produit pour les deux maladies mais pas le même protocole. Pour l’une le dosage est élevé avec une faible fréquence de perfusion (toutes les 6 semaines quand même), et pour l’autre le dosage est plus faible mais les perfusions sont plus rapprochées (tous les 15 jours). Et c’est à moi de choisir par quoi on commence !

En plus ce traitement ne guérit pas. En effet, il permet de freiner les maladies, d’espacer les crises en atténuant les symptômes, mais il a aussi beaucoup d’effets secondaires qui peuvent être graves (lymphome – cancer du système lymphatique – par exemple). Il y a un protocole (encore des examens) de 3 mois pour le mettre en place. En fait il s’agit d’un immunosuppresseur (antiTNF alpha). Cela signifie que le traitement va détruire une partie de mon immunité, avec beaucoup d’hospitalisations en perspective.

Je refuse. La rhumatologue ne comprend pas. Elle essaie de me persuader d’accepter. Pour cela, elle m’explique que de toute façon (traitement ou pas) je ne retrouverai pas la mobilité perdue. En plus, selon elle, je serai en fauteuil roulant dans 3 ou 4 ans.
Je refuse encore. Je préfère le fauteuil roulant à une vie en pointillée à l’hopital. Elle se vexe. Je rentre chez moi, anéantie. Je ne la reverrai plus.

Mon choix

Pendant ces 3 ans qui ont précédé ce diagnostic, je passais beaucoup de temps dans mon canapé… J’ai mis à profit tout ce temps, pour essayer de comprendre, de prendre du recul.

J’ai fait des recherches d’abord sur la diététique, puis sur la physiologie, sur la naturopathie, sur l’hygiène de vie en générale. Très vite, j’ai compris que je pouvais prendre le pouvoir sur les maladies en changeant ma façon de vivre.
C’est pour cela, que lorsque le diagnostic est tombé, j’étais en mesure de vraiment choisir comment je voulais me soigner.

J’ai donc modifié mon alimentation, essayé différentes approches en surveillant les effets sur mon corps.
J’ai appris à gérer les douleurs, notamment par la méditation et l’auto hypnose.
En fait, mon alimentation, et plus largement mon hygiène de vie, sont devenus mes médicaments. Aujourd’hui, j’investis encore beaucoup d’énergie et de temps pour aller de mieux en mieux. Je sais, maintenant, l’importance et l’effet sur notre corps de tout ce que nous absorbons.

Vers la guérison

L’amélioration de mon état de santé a commencé par des périodes de plus en plus longues de rémission de RCH, avec des crises de plus en plus discètes. Aujourd’hui je ne me souviens plus de quand date la dernière crise de RCH.

Puis, les douleurs articulaires sont parfois devenues moins violentes lors des crises, qui elles-mêmes se sont espacées. Petit à petit, j’ai même commencé à retrouver de la mobilité. Aujourd’hui, je peux nager, je grimpe même aux arbres ! Enfin, juste dans mon cerisier, histoire de ne pas laisser les oiseaux manger toutes les cerises.
Je peux marcher une heure d’un bon pas, même si les douleurs sont toujours là, plus ou moins présentes selon les jours. Cependant elles ne sont que rarement invalidantes. Lorsqu’elles le sont, je jeûne. Une fois au repos complet, mon corps se rétablit plus vite.

Surtout je remarque que mois après mois, je vais de mieux en mieux. Je repousse doucement les maladies en renforçant mon métabolisme et ma santé. Aujourd’hui je suis convaincue qu’un jour je serai complètement guérie.

Les déchets du corps et leur élimination

Le corps produit deux sortes de déchets. Il les rejette par les émonctoires via le sang et la lymphe. http://www.nathalie.chareyre.com/le-mouvement-cest-la-vie/ Les émonctoires sont les organes permettant d’éliminer les déchets. Ils sont au nombre de quatre.

Les déchets

Les déchets de type mucus

Les mucus sont produits essentiellement par la digestion non complète des sucres complexes (farineux, sucres raffinés et tous les produits laitiers). En effet, nous sommes avant tout des frugivores. http://www.nathalie.chareyre.com/toujours-plus-de-maladies-auto-immunes-ou-autres/ De ce fait, nous ne sommes pas équipés pour digérer les produits laitiers après l’âge de 2 ans et les céréales ! Et pourtant, pour beaucoup d’entre nous, ces produits sont la base de notre alimentation. Ils sont même considérés comme les produits de première nécessité !

Les déchets de type acide, ou cristaux

Ces déchets sont essentiellement produit par la digestion incomplète des protéines animales (acide urique) et de l’alcool ainsi que du fonctionnement des cellules. Par exemple, les cellules musculaires produisent de l’acide lactique. Tu sais, c’est ce qui provoque les courbatures. Bien sûr, ces acides ne sont pas un problème pour le corps contrairement à ceux issus de l’alimentation.

Les émonctoires

Les poumons et les intestins

Les poumons et les intestins sont les deux émonctoires qui permettent d’éliminer les mucus. En fait, essayer d’arrêter un rhume ou une diarrhée, revient à essayer d’empêcher notre corps d’éliminer ses déchets. Souvent le rhume apparaît quand les intestins ont du mal à faire leur travail. Le meilleur moyen de soigner un rhume est de désengorger les intestins (par des lavements par exemple).

Au fil du temps, les mucus accumulés dans l’organisme sont responsables de toutes les « maladies » inconfortables mais non douloureuses. On peut citer : le cancer, la dépression, les maladies dégénératives, les MICI (maladies intestinales chroniques inflammatoires), les troubles cardio-vasculaires, le surpoids….

La peau et les reins

La peau et les reins sont les deux émonctoires permettant d’éliminer les acides. Si tu as les reins fatigués, arrête les protéines animales bien sûr et solicite plus ta peau. Autrement dit, transpire ! Le sport ou le sauna sont excellent pour toi.
Si tu as des problèmes de peau, bois beaucoup (de l’eau, hein ?) et désengorge ton foie bien sûr !

Au fil du temps ces acides accumulés dans l’organisme se transforment en cristaux. Ils sont responsables de toutes les « maladies » douloureuses. On peut citer : l’arthrose, les rhumatismes, les calculs….

En conclusion

Dis moi ce que tu manges, et donc quel type de déchets tu accumules et je te dirai quelles maladies tu risques de contracter. Bien sûr ce n’est pas aussi simple que ça ! Le corps peut être saturé des deux types de déchets. C’est mon cas. C’est pourquoi, j’ai en même temps une MICI (accumulation de mucus) et une spondylarthrite ankylosante (accumulation de cristaux) !
Les produits laitiers produisent les deux types de déchets, de même que la viande quand elle est grillée….
Je reviendrai sur les différents modes de cuissons dans un prochain article.

Si tu as des remarques, ou des questions, n’hésite pas à me laisser un commentaire.